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Etron, étron, petit patapon |
Incipit :
A beggar nobody had seen before appeared in the neighbourhood that summer. No-one knew him by name, nor seemed to care much about him, but to a young couple who passed him every morning he was the “crazy dwarf”. He was in fact around one metre fifty tall, but he was certainly erratic, and he would occasionally spring up and grab people by the arm, babbling incoherently.
Une série enterrée avec brio par un auteur nase. Pourtant je m'étais dit qu'on ne m'y reprendrait plus ... Mais voilà j'ai cru un instant qu'il avait remonté le niveau, ce qui était possible au regard du gouffre où on était tombé. Grave erreur. J'hésite à créer une nouvelle catégorie : le contraire du livre coup de cœur, l'antithèse du livre culte, en somme l'étron resplendissant de toute son aura de vacuité. Qu'est-ce que c'est mauvais, j'y crois pas. J'ai tenu jusqu'au chapitre 23 (Plus de la moitié du livre) et c'est d'un ennui abyssal. Qu'est-ce qu'on en a rien à cirer de ce fait divers qui traine en longueur (au moins la moitié du livre !), l'auteur pisse à la ligne à n'en plus finir tellement il brode sur une intrigue médiocre. Même en anglais l'auteur m'ennuie, me lasse et me pousse au désintérêt le plus profond. Cela fait un mois que je suis dessus et chaque reprise est plus difficile, je préfère jeter l'éponge et lire autre chose. C'est moins débile que les propos incohérents de Trump (Cours d'esprit critique pour les nuls par l'excellentissime John Oliver ici et là) mais quand même. Le monde en déréliction ...
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Je confirme ... |
Note : .
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